Habib Tawa

His doctoral thesis in history, under the joint supervision of the EHESS and the Paris-Sorbonne University, focused on contemporary Egypt, while his thesis in mathematics, argued at the University of Paris-Sud, was devoted to linear algebra. Thereafter, he turned his research and publications on the history of religion (Samaritans, Yezidis[2] etc.), on contemporary Middle East and Central and East Asia. He is known to be a great connoisseur on issues related to the Syrian-Lebanese emigration in Egypt that occurred from the middle of the 19th.[3]

In 2001 he was entrusted the responsibility of chronicling geopolitics in the monthly Afrique-Asie.[4]

Habib Tawa is secretary to several scientific societies (Société d'études samaritaines 1995–2008, Société des amis des manuscrits et études karaïtes since 1995) and member of the Société Asiatique[5] and the Société mathématique de France.

• « Liban : un centre lesté par sa périphérie », in Le centre et la périphérie, colloque au Collège de France with the CNRS and the Société asiatique, Jean Maisonneuve, 2009, 14 p.
• « Alexandrie à Beyrouth, d'une société multiculturelle à une société multiconfessionnelle », in Alexandrie et la Méditerranée : entre histoire et mémoire (Actes du colloque international Histoire et mémoire à la Bibliotheca Alexandrina), Maisonneuve & Larose, 2006, 13 p.
• « Le système communautaire au Liban, dernier survivant ou modèle d'avenir ? » in Actes d’un colloque international à la Bibliotheca Alexandrina, ETS Pisa et Vrin, Paris, 2004, 42 p.[6]
• « Les Yézidis », in Revue des anciens de l’Inalco, Paris, 2001, 25 p.
• « Traces de l’Israël éthiopien au travers des principaux géographes arabes du Moyen âge », in Noblesse oblige, in honour of David Kessler, Vallentine Mitchel, London, Portland Oregon, 1998, 14 p.
• « Sur quelques traces d’influences samaritaines au sein de l’islam », in New Samaritan Studies, vol. III et IV, University of Sydney, 1995, 15 p.
• « Aspects historiques de la question de la science face au racisme », in Racisme, science et pseudo-science,[7] actes du colloque réuni en vue de l'examen critique des différentes théories pseudo-scientifiques invoquées pour justifier le racisme et la discrimination raciale, Athènes, 30 March - 3 April 1981, Unesco (translated into English and Spanish), 1982, 16 p.
• « La violence politique marginalisée en Afrique sub-saharienne », in Terrorisme et culture, Paris-Sorbonne University, vol. II, cahier 20, 1981, 23 pages.[8]
• Théorie des espaces vectoriels à dimension finie relative (Positive, Négative), thèse de doctorat in mathematic, Université Paris-Sud, 1979, 120 p.
• Imbrication entre pouvoir, mouvements politiques et armée en Égypte de la guerre de Palestine à la chute de la monarchie (1948–1952), thèse de doctorat en histoire, EHESS and Université Paris IV-Sorbonne, Paris, 1977, 483 p.[9]